Les membres de la section locale 58 de l’AIEST à Toronto ont une chose en commun : l’amour du théâtre. Cela était évident lorsque le RRCID a rencontré Harrison Bye, Chris Hains et Wes Allen pour cette Lumière sur les membres.
Harrison et Chris ont suivi les cours de l’École de la performance de l’Université métropolitaine de Toronto (anciennement l’École de théâtre à l’Université de Ryerson). Wes a découvert le métier en suivant un cours de production théâtrale au lycée et, pendant ses études à l’université de Toronto, il a travaillé à temps partiel dans un théâtre local. Wes aimait ce travail plus que ses études, il a donc décidé de quitter l’école et de devenir apprenti au sein de la section locale 58. Au fur et à mesure que leurs carrières évoluaient, ils ont appris qu’en adhérant au syndicat, ils pouvaient gagner correctement leur vie et envisager une retraite confortable. La gestion efficace de l’argent est devenue une priorité pour tous les trois, et la solution a été le RRCID.
Quand avez-vous rejoint le RRCID ?
Harrison : Le RRCID n’était pas le régime de REER collectif lorsque j’ai commencé à travailler pour la section locale 58. J’y ai adhéré en 2020 et, après un certain temps, j’ai remarqué que mes placements se portaient bien. C’est alors que j’ai décidé de transférer tous mes REER dans le régime. À l’heure actuelle, tous les nouveaux apprentis doivent obligatoirement s’inscrire au RRCID.
Wes : Il y a probablement neuf ans, je siégeais au conseil exécutif de la section locale. Le RRCID a fait une présentation sur le régime, et j’en ai appris davantage sur les fonds communs de placement et les différents types d’investissement. Lorsque la section locale a décidé d’adhérer au régime, j’ai décidé de montrer l’exemple en étant l’une des premières personnes à s’inscrire. J’ai pensé que les fonds à date cible et à risque étaient parfaits pour moi, car j’aimais que les fonds soient ajustés automatiquement tous les cinq ans pour maintenir l’investissement sur la bonne voie.
Chris : J’étais très mauvais gestionnaire et j’avais l’habitude de retirer de l’argent de mon REER lorsque je participais à l’autre régime. Puis j’ai entendu parler du RRCID et j’y ai transféré tout mon argent. Maintenant, je suis plus diligent et je laisse mon argent fructifier seul. J’assiste aux congrès et, l’an dernier, j’ai appris que, pour chaque tranche de 100 millions de dollars, les frais diminuent. Je dis à tous ceux qui veulent bien m’écouter qu’ils doivent transférer leur argent à la RRCID. Les rendements sont excellents et les frais en valent vraiment la peine.
Comment s’est déroulée votre expérience au sein du RRCID ?
Harrison : Le transfert de l’autre fournisseur a été facile et transparent. J’ai été bien soutenu par l’équipe de la Canada Vie et par l’administrateur du régime de notre section locale. On s’est occupé de moi et on a fait un suivi. L’expérience a été très positive.
Wes : Je fais confiance au régime et je ne suis pas inquiet. Il fait son travail en arrière-plan. Je pense que l’augmentation du pouvoir d’achat pour réduire les frais est une bonne chose. Et je me réjouis qu’il ait été créé pour les gens de notre secteur.
Chris : Tout se passe très bien. Je dis à tout le monde de s’inscrire.
Avez-vous une idée de ce que pourrait être votre retraite ?
Harrison : J’y pense souvent. C’est d’ailleurs un argument de vente important lorsque je fais la promotion de ce plan auprès des jeunes affiliés. Quand je pense à ma retraite, je pense qu’elle sera le reflet de ma vie actuelle, juste plus détendue et plus confortable.
Wes : J’aimerais voyager davantage, à condition d’être en bonne santé et d’avoir suffisamment d’argent. Et j’aimerais posséder une maison à un moment donné.
Chris : J’ai un rêve : une propriété en bord de mer en Sicile. Mais en réalité, il se peut que je prenne ma retraite ici avec ma petite amie. J’aime mon travail, mais j’ai hâte de pouvoir profiter du soleil sur une terrasse, de jouer au golf et de rendre visite à mes amis et à ma famille.
Que diriez-vous à un autre membre de votre section locale qui envisagerait d’adhérer au plan ?
Harrison : Les membres ne se rendent pas compte de l’ampleur du régime et de l’appui dont nous bénéficions [de la part de la Canada Vie, le fournisseur du régime]. Aux jeunes membres, je dis qu’il est impossible d’avoir une expérience aussi positive au sein d’une entreprise. Certains n’ont pas encore adhéré au régime et d’autres ne sont pas pleinement conscients du régime ou de ses avantages.
Chris : Le taux de rendement, quel que soit le moment où vous prenez votre retraite, et les frais font une énorme différence. Il n’est pas nécessaire d’être un expert, la Canada Vie fait tout le travail pour nous. Vous n’avez qu’à vous assurer que votre argent y est placé. C’est facile. Il n’y a pas à hésiter. Vous pouvez lui faire confiance parce qu’elle existe depuis 20 ans.
Wes : Je parle du fait qu’il s’agit d’un produit créé par des personnes travaillant dans le secteur du divertissement et adapté à leurs besoins. Je parle aussi du service personnalisé que nous recevons. La façon dont les fonds fonctionnent en fonction de l’âge, la facilité avec laquelle ils sont gérés, surtout pour les jeunes ; plus tôt vous adhérez, mieux c’est. Cet article est également un bon rappel pour les membres qui ne l’ont pas encore fait de se renseigner sur le plan.